J’ai 53 ans, et depuis plusieurs années, mes joues prenaient une teinte rouge presque en permanence. Au début, je mettais ça sur le compte de la ménopause, du stress, de la sensibilité de ma peau… mais avec le temps, la situation s’est aggravée. Les rougeurs diffuses, la couperose et ces petits vaisseaux rouges autour du nez me complexaient énormément.

 

Je n’osais plus sortir sans fond de teint.
Je refusais les photos.
Et je me surprenais, même entre amis, à mettre ma main devant mon visage dès que je sentais mes flushs de rosacée monter.

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C’est ma fille qui m’a parlé du Dr Mélanie Herz, à Garches. J’ai mis des semaines avant d’oser prendre rendez-vous, par peur d’être jugée ou de me lancer dans quelque chose que je ne comprenais pas.
Mais dès la première consultation, j’ai senti une écoute sincère. Le Dr Herz a pris le temps de m’expliquer d’où venaient mes rougeurs, comment fonctionnait la lumière pulsée (IPL), et surtout ce que je pouvais réellement espérer comme résultat.

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Rien de surfait, rien de commercial. Juste du vrai.

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La première séance m’a impressionnée : ce n’était pas douloureux, juste une sensation de chaleur. Ma peau était un peu rosée après, comme elle me l’avait annoncé, puis tout est rentré dans l’ordre en quelques heures.

 

Et les jours suivants… j’ai commencé à voir une différence.
Discrète au début, mais tellement encourageante.

 

Au fil des séances, ma peau a changé.
Les rougeurs diffuses se sont estompées, les petits vaisseaux visibles ont pratiquement disparu, mon teint s’est éclairci et uniformisé.

 

Je ne pensais pas dire ça un jour mais…
je sors désormais sans maquillage.
Je reprends goût aux photos.
Et surtout, je retrouve un visage qui me ressemble, sans me sentir “rouge tomate” au moindre changement de température.

 

Aujourd’hui, après trois séances et une recommandation d’entretien annuel, je peux dire que ce traitement à l’IPL a changé mon quotidien.
Je revis.

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Si je partage mon histoire, c’est pour les femmes (et hommes !) de mon âge qui n’osent plus regarder leur peau dans le miroir à cause de la couperose ou de la rosacée.
On pense souvent qu’il faut “faire avec”, mais non.
À Garches, Paris Ouest, j’ai trouvé une solution simple, efficace, et surtout humaine.

 

Merci, vraiment.